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Ne détourne pas le regard

Que se passe-t-il une fois que la violence s'arrête ? Comment s'en relève-t-on ? Le temps d’une nuit, les deux comédiennes et autrices emportent avec elles les spectateurs.trices dans une insomnie pleines de questions.

" Les conséquences encore plus violente que la violence elle-même. "

Chaque vécu est différent, changeant. Alors pourquoi n'y aurait-il qu'une seule solution ? Se reconstruire demande du courage,  amène du doute et nous fait vibrer de colère ; une addition des plus explosive.

 

" Comment fait-on pour traverser ce merdier ?"

Le chemin est long, douloureux et empli de petites victoires.

Il s'agit ici d'éclairer ce sentier d'ombres et de lumières.

" J'ai tout essayé. Je n'ai pas vraiment le choix. "

Ne détourne pas le regard est un seul en scène à deux. Sarah et Lucile incarnent une seule femme, mais milles voix qui se bousculent, se jugent et se réconfortent.

" La douleur enfle ou s'atténue selon l'oreille qui se prête à l'écoute. "

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© Yvette Louis

Une écriture à quatre mains

Ne détourne pas le regard est écrit à quatre mains par Sarah Lapière et Lucile Clair. Basé sur des témoignages de femmes et des deux autrices sur leurs vécus personnels, la création mêle dialogues, monologues, récits oniriques et histoires vraies. 

 

Un projet en construction

Le spectacle a demandé deux années de travail : co-écriture, résidences de création, mise en lumière par Véronique Gougat.

La pluralité des deux créatrices se retrouve sur scène : écriture, jeu, compositions musicales, costumes et décor.

© Yvette Louis

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